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se débarrasser des déchets de construction

Comment se débarrasser des déchets de construction ?

L’évacuation des déchets de construction ou gravats est un véritable problème environnemental. Si vous êtes un professionnel en charge d’un chantier, cette responsabilité vous incombe. Cet article vous donne quelques simples astuces pour vous aider à vous débarrasser de vos déchets de construction.

Recourir aux services d’un professionnel pour l’évacuation des gravats d’un chantier

Si vous êtes chargé des travaux d’un chantier en tant qu’un artisan professionnel, vous devez nécessairement veiller à diminuer les coûts issus de la gestion des déchets. Pour y parvenir, faites appel à une société telle spécialisée en la matière. Elle vous fera faire des économies. Pour en trouver une à Rebecq, cliquez sur https://www.terrassement-pihart.be. En effet, grâce à une pareille entreprise, vous n’aurez pas besoin de dépenser plus que ce vous avez prévu.

Aussi, si vous deviez vous-même procéder à l’élimination des déchets, vous prendrez beaucoup de temps. Ainsi, en confiant leur gestion à une société, vous gagnerez également du temps. Et ceci, de façon inévitable. En fait, au lieu que vos employés ne passent leur temps à se débarrasser des gravats, ce qui pourrait durer des heures et même des jours, une entreprise spécialisée en la matière se chargera rapidement et efficacement de vos déchets.

Recourir aux services d’un professionnel pour l’évacuation des gravats d’un chantier

En plus, cette dernière peut travailler en fonction de vos horaires. Elle peut passer chercher les gravats aux heures que vous lui demanderez. De même, lorsque vous confiez la gestion de vos déchets à une société, vous diminuez de façon automatique, les risques de sécurité dus à la gestion des déchets dangereux. Ces déchets dits dangereux sont notamment :

  • Les morceaux de verre
  • Les bouts de ferraille
  • Les produits dangereux

Ce qui se révèle être sécuritaire pour votre société, votre personnel et vous-même.

En outre, soulignons également que le fait de faire appel à un prestataire pour la gestion de vos déchets vous donne droit à un travail d’expert. Aussi, vous bénéficierez des compétences de l’entreprise que vous sous-traitez. Cette dernière peut même vous prodiguer des conseils sur le genre de déchets que vous avez par exemple. Ainsi, ils vous diront si ces derniers font ou non objet de rejet par une déchetterie.

Ne sont pas autorisés par la déchetterie par exemple :

  • Les peintures
  • Les produits chimiques.

Mais sont autorisés les gravats tels :

  • Les pierres
  • Les briques
  • Les carrelages
  • Le béton
  • Les mélanges bitumineux ne contenant pas de goudrons

Enfin, l’évacuation des déchets occasionne de nombreuses démarches administratives à faire à la Mairie. Lesquelles démarches administratives ne vous incombent plus lorsque vous sous-traitez.

Louer des bennes à gravats

Louer des bennes à gravats

Pour les grands travaux (démolition ou rénovation), la location de bennes à gravats se révèle nécessaire. Car elle permet une centralisation de la collecte des déchets.

Le coût de location d’une benne à gravats est fonction du volume de cette dernière. Ainsi, moins celle-ci est grande, moins vous aurez à dépenser et vice versa. Par ailleurs, ce prix est également influé par la nature de vos déchets de construction. À titre illustratif, si vous devez vous débarrasser de gravats propres, vous paierez moins cher que s’il s’agissait de l’évacuation de matériaux polluants.

Par ailleurs, la durée de location de la benne également n’est pas sans effet sur le coût de cette dernière. Plus les travaux dureront et moins le coût de location s’élèvera. Enfin, la distance séparant l’emplacement de la société qui vous louera la benne et l’emplacement de votre chantier est également à prendre en compte dans la location de la benne.

Utiliser un big bag

Si vos travaux ne sont pas importants, il est conseillé d’utiliser le big bag. Doté d’une grande solidité et d’une grande étanchéité, le big bag peut vous aider à évacuer jusqu’à 1500000 g de déchets de construction. Vous pouvez le louer ou en acheter tout simplement.

 

pavage durable

Quelle technique pour avoir un pavage durable ?

Le pavage est un revêtement de sol pouvant se substituer au béton. Au cours des travaux, le sol est recouvert de pavés selon un plan bien précis. À la fois esthétique et résistant, vous avez tout intérêt à l’adopter. Quelle technique pour avoir un pavage durable ? Vos réponses sont dans cet article.

Le pavage sur lit de sable

Réalisé par l’Entreprise de pavage spécialisée en klinkers, le pavage sur lit de sable est une excellente technique de pose des pavés. Outre le fait qu’il assure la durabilité des travaux, les professionnels l’utilisent généralement pour les pavages de plus de 6 cm d’épaisseur et les allées piétonnes.

Pour le réaliser, commencez par délimiter le périmètre de pavage puis placez des repères pour le dessin des motifs. Ensuite, décaissez la zone sur une profondeur de 15 à 20 cm. N’oubliez pas d’installer le lit de sable puis de le damer afin d’assurer sa stabilité. Prévoyez aussi une légère pente de 1 cm/m. Cela faciliterait l’écoulement des eaux de pluie.

Maintenant, posez les pavés suivant le plan de calepinage en laissant la place pour les joints. Dans cette entreprise, faites usage des cales de même dimension à intercaler entre les pavés pour avoir toujours le même écart.

L’étape qui suit consiste à damer le pavage. Ici, utilisez une dameuse pour tasser les pavés. Ainsi, vous aurez une surface plane. Par ailleurs, jointez le pavage avec du sable et arrosez le tout pour tasser les pavés.

Dans le cas où le sol serait meuble, il est recommandé de le stabiliser avant de commencer le pavage. Concernant le pavage pour piéton, réalisez une couche de sable et de petits gravats. Rendez-la compacte avec une dameuse. De cette façon, l’assise est à la fois stable et idéale, ce qui facilite la suite des opérations.

S’il s’agit plutôt d’un pavage pour voiture, la charge sera beaucoup plus importante. De ce fait, l’emploi d’un mélange de pierres, de graviers ou de briques concassées sur une épaisseur de 20 à 40 cm est conseillé.

Le pavage sur chape de mortier

Pour un pavage durable, vous pouvez également opter pour un pavage sur chape de mortier. Cette technique est privilégiée dans le cadre du pavage d’une dalle de béton ou pour des pavés irréguliers. En réalité, cette façon de poser les pavés permet l’ajustage en profondeur du pavé. De ce fait, les différences entre les pavés sont donc palliées.

En ce qui concerne la réalisation du pavage sur chape de mortier, procédez au nettoyage de la dalle de béton. Ainsi, le mortier adhère au mieux. La préparation du mortier doit immédiatement suivre. Dans le cas où vous optez pour un mortier prêt à l’emploi, nul besoin de réaliser cette étape.

À présent, posez les pavés. Pour y arriver, déposez-les sur un lit de mortier de 2 cm d’épaisseur. Alignez-les puis tassez-les en procédant régulièrement à la vérification de la surface. Pour finir, jointez le pavage avec du sable ou avec des joints de mortier.

Pour avoir un pavage durable, plusieurs techniques peuvent être utilisées. Il est possible d’opter pour le pavage sur lit de sable ou pour le pavage sur chape de mortier.

déboucher une canalisation

Comment déboucher une canalisation ?

Le bouchon d’une canalisation peut créer d’énormes difficultés. Dans la majorité des cas, l’eau s’évacue plus lentement dans la douche. Aussi, elle peut stagner dans l’évier ou dans la cuvette des toilettes. Dans tous les cas, il est important de réparer le problème. Suivez-nous pour savoir comment déboucher une canalisation.

La technique de l’eau bouillante

Avant de faire appel à la société de vidange de fosse septique située à Silly, vous pouvez verser une casserole d’eau bouillante dans votre canalisation afin de la déboucher. Le plus souvent, c’est simplement du gras ou du savon qui obstrue la canalisation. Cette technique montre toute son efficacité dans ce cas.

Ici, il est recommandé de faire preuve de prudence pour éviter les brûlures. Aussi, pour un débouchage complet, vous devez procéder au moins en deux fois.

La méthode du vinaigre blanc

En dehors de l’eau chaude, il vous est également possible d’utiliser du vinaigre blanc, de gros sel et du bicarbonate de soude. Tout d’abord, versez le bicarbonate de soude directement dans la canalisation. Ensuite, procédez à l’ajout d’une cuillère à soupe de gros sel. Pour finir, versez le vinaigre blanc.

Le mélange de ces trois éléments permet la création d’une réaction chimique immédiate, produisant une quantité de mousse. Attendez trente minutes puis procédez au versement d’une casserole d’eau bouillante.

La soude caustique

La soude caustique est également un produit qui se révèle efficace pour le débouchage des canalisations. Attention ! Il est conseillé de l’utiliser avec précautions. Dans ce cadre, portez des gants et des lunettes.

Pour commencer, versez trois tasses de soude caustique dans ¾ de litre d’eau froide. Remuez le tout avec un bâton afin d’obtenir une émulsion. Maintenant, versez le mélange dans votre canalisation puis laissez agir pendant trente minutes. Enfin, procédez au versement d’une casserole d’eau bouillante pour terminer.

Le déboucheur chimique

Une autre solution pour déboucher votre canalisation concerne l’utilisation d’un déboucheur chimique. Ici, vous devez simplement verser le produit dans la canalisation, laisser agir et compléter avec de l’eau bouillante.

Toutefois, il est important de préciser que certaines précautions doivent être prises. Dans ce cadre, le port de masque et de gants est indispensable. Ainsi, vous évitez de vous brûler ou de respirer des émanations toxiques.

La ventouse

Avec une ventouse, le débouchage de la canalisation est également possible. Surtout, la procédure est toute simple. Commencez par boucher toutes les ouvertures secondaires. Ensuite, faites couler un peu d’eau dans la baignoire, la douche ou l’évier. Maintenant, mettez la ventouse sur la canalisation de telle sorte à la recouvrir complètement. À présent, réalisez des mouvements de va-et-vient dans le but de créer un appel d’air.

L’aspirateur

Vous possédez un aspirateur ? Alors le débouchage de votre canalisation peut se faire sans difficulté. Mettez tout d’abord l’aspirateur sous vide puis faites usage d’une vieille tête d’aspiration pour récupérer le bouchon. Ici, vous avez également la possibilité d’utiliser un déboucheur à pompe.

À défaut de faire recours à un professionnel, de nombreuses techniques peuvent vous aider à déboucher une canalisation. Vous avez notamment l’eau bouillante, le mélange du vinaigre blanc, du sel et du bicarbonate, la soude caustique, le déboucheur chimique, la ventouse ainsi que l’aspirateur.

Quel budget pour aménager ses combles ?

L’aménagement des combles permet de gagner dans son habitation de l’espace. L’objectif étant d’économiser de l’énergie ou de créer une ou plusieurs pièces supplémentaires. Cependant, avant que les combles ne deviennent une suite parentale, une salle de jeux ou un étage à part entière, il est parfois nécessaire de réaliser de gros travaux. Cela représente donc un véritable investissement. Il faut donc réaliser un budget conséquent qui tienne compte de facteurs essentiels. Voici quelques conseils qui peuvent vous être utiles.

Repérer les besoins

Les combles répondent à un certain nombre de caractéristiques. Connaitre et comprendre clairement ces caractéristiques constitue le leitmotiv pour s’assurer du budget à prévoir. Rappelons que ces critères concernent surtout les différents éléments à prévoir dans le comble.

En effet, il faut prévoir une hauteur sous plafond au minimum de 1,80 mètre. Toujours est-il que déterminer une telle hauteur peut permettre de faire plus d’économies. Il faut souligner aussi que l’idéal pour une pièce à vivre serait une hauteur qui se situe entre 2,20 et 2,50 mètres. De la même façon, la toiture doit avoir une pente qui sera adaptée au comble.

Par ailleurs, si vous avez une charpente de type traditionnel, il est préférable de prévoir des travaux. La charpente devra supporter les charges d’aménagement. Il sera donc nécessaire de changer l’inclinaison de la toiture, transformer la charpente et surélever la maison (si besoin est). Ainsi, l’espace prévu pour le comble ne sera pas empiété.

Aussi, faut-il prévoir des travaux de renforcement à tous les autres niveaux en vue d’éviter toute déconvenue. En réalité, si votre comble ne prend pas en compte ces critères, cela doit se faire le plus rapidement possible. Car, il est possible que cet endroit ne puisse plus servir à grand-chose.

Le coût de l’aménagement des combles

Maintenant que vous connaissez bien vos besoins, il faut passer au prix de l’aménagement de votre comble. Néanmoins, sachez que ce prix prend en compte de nombreux paramètres.

En fait, cela dépend de la surface à aménager et de la pièce en question. Par exemple, l’aménagement d’un comble pour y installer une salle de bain nécessite le raccordement du réseau d’eau. Évidemment, les prix grimperont quand il s’agira de réaliser de tels travaux.

En plus, il faut prendre en compte la structure de la toiture. Ainsi, il faut déterminer si la toiture est fermette ou non. Pour cela, il est plus conseillé de demander l’avis d’un spécialiste. Vous pouvez en trouver via le site https://www.megacombles.fr/.

Calculer le budget à consacrer

Une astuce très facile qui vous permet de déterminer et de calculer les coûts ou les frais à utiliser pour les combles est de savoir quel type d’isolation vous souhaitez installer. Petit conseil : l’isolation par l’intérieur est plus simple à mettre en place que l’isolation par l’extérieur. Ainsi, pour la première, il faudra compter entre 20 et 40 euros. Quant à la seconde, il faut prévoir entre 100 et 120 euros.

Puis, le calcul devra prendre en compte la somme des éléments qui composeront votre comble. Il s’agit du sol, des murs, des ouvertures ou de l’escalier d’accès. Mieux, sachez qu’il est fréquent de dépenser près de 30 000 euros pour un aménagement général des combles. Évidemment, cela ne concerne que les combles qui ont de sérieux problèmes. Les autres (ceux qui présentent de légères imperfections) sont souvent facturés à 18 000 euros.

Quel que soit le budget à prévoir pour réaliser votre aménagement, dites-vous bien que cela en vaut vraiment la peine. Vous allez pouvoir installer de somptueux décors dans votre comble et y vivre paisiblement.

revêtement de sol

Quel prix pour un revêtement de sol ?

Le revêtement de sol est un matériau permettant de couvrir le sol. Il permet notamment de protéger et de décorer le sol, mais surtout, il est adapté pour résister au passage des animaux, des personnes, des engins… Sur le marché, vous en trouverez de toute sorte. Voulez-vous connaître le prix du revêtement de sol ? Lisez cet article pour tout savoir.

Prix du carrelage

Pour déterminer le prix du carrelage, la société de construction située à Waterloo prend en compte plusieurs critères. Tout d’abord, vous avez la nature du carrelage. Il s’agit ici du matériau du carrelage, de sa marque et de sa qualité. Ensuite, vous avez la surface à couvrir. Celle-ci est généralement exprimée en m et détermine le montant total du projet. Il y a également la dimension des carreaux. Les grands sont plus difficiles à manipuler. De ce fait, ils sont plus onéreux. Le prix du carrelage varie entre 60 et 200 €/m², fournitures et pose y comprises.

Prix d’un parquet flottant

Le parquet flottant est un revêtement de sol composé de lames de bois. Ces lames peuvent être d’essences de bois naturels différentes. Le parquet flottant fait référence à la pose qui est flottante. Les lames sont, en effet, encastrées les unes dans les autres. Le prix du parquet flottant oscille entre 25 et 60 €/m². Ce tarif prend en compte la fourniture et la pose.

Prix d’un parquet massif

Le parquet massif occupe une place de choix parmi les revêtements de sol en bois. Surtout, il est élégant, noble, authentique, résistant et durable. Aussi, ce type de parquet peut revêtir n’importe quelle pièce de votre maison. Il suffit que celle-ci ne soit pas trop en contact avec l’humidité.

Il existe trois catégories de parquet massif : le mince, le traditionnel et le haut de gamme. Le prix moyen d’un parquet massif mince se trouve entre 55 et 155 €/m². Pour un parquet massif traditionnel, vous trouverez entre 63 et 190 €/m². Concernant le parquet massif haut de gamme, son prix varie entre 80 et 110 €/m².

Prix d’un sol en béton ciré

C’est l’esthétique du sol en béton ciré qui rajoute un plus à ce revêtement de sol. Aussi, il est facile à réaliser et résistant. Vous pouvez également l’utiliser comme isolant thermique. Par ailleurs, il nécessite peu d’entretien. Le prix d’un sol en béton ciré dépend de plusieurs critères tels que la surface à couvrir, les travaux à réaliser, la finition souhaitée… Selon ces critères, le prix peut varier entre 70 et 130 €/m², pose comprise.

Prix d’un sol en PVC

Le revêtement en PVC fait partie de la catégorie des sols plastique, exactement comme le linoléum. Ce revêtement se distingue par sa souplesse, sa facilité de pose et d’entretien. Avec la fourniture et la pose, le revêtement en PVC coûte entre 14 et 70 €/m².

Prix d’une moquette

La moquette fait partie des revêtements de sol les moins onéreux du marché. Surtout, elle est confortable, chaleureuse et peut être utilisée pour l’isolation. Le prix d’une moquette est déterminé en fonction du modèle choisi, de la matière qui la constitue, l’épaisseur, la qualité. Une moquette coûte entre 3 et 200 €/m², hors pose.

Il existe une multitude de revêtements de sol. Le prix de ces derniers dépend de façon générale de la surface à couvrir, de la matière du revêtement, de la difficulté de pose…

Construction piscine

Construction piscine : comment créer un couloir de nage ?

Présente dans de plus en plus de jardins, la piscine couloir de nage n’en finit pas d’impressionner. Avec son design sobre et épuré, elle offre aux amateurs de sport un cadre idéal pour enchainer des longueurs de natation en toute tranquillité. Dans cet article, nous vous entretenons sur la construction d’un couloir de nage, et les étapes indispensables à son installation.

Les principales étapes de la construction d’un couloir de nage

Comme l’indique son nom, le couloir de nage est un bassin qui possède une forme de couloir. En dehors de sa forme marquée par une longueur bien supérieure à la largeur, le couloir de nage a de nombreuses similitudes avec la piscine traditionnelle. En effet, l’installation d’un couloir de nage s’apparente également à celle d’une piscine traditionnelle. Voici un aperçu de toutes les étapes de la construction d’un couloir de nage.

La préparation du terrain

La préparation du terrain est la première étape de la construction et consiste notamment à tracer le couloir au sol, et à creuser le futur emplacement du couloir de nage

La construction du bassin en lui-même

À cette étape, il faut bien choisir la structure qu’aura votre couloir de nage. Les travaux de construction diffèrent selon que vous choisissez un modèle de couloir de nage en béton, en kit, ou en coque. D’un autre côté, l’installation d’un modèle couloir de nage maçonné, nécessite des travaux de construction spécifiques pour un béton coulé, projeté ou armé. Après le choix de la structure, place à son installation suivie de la pose du revêtement (liner, carrelage, mosaïque, etc.).

Le raccordement du système et le remblaiement

Après l’installation de la structure, il faut procéder au raccordement du système hydraulique et électrique de votre couloir de nage. Cette étape se caractérise également par l’installation du système de filtration d’eau. Pour rappel, si vous souhaitez aménager un système de nage à contre-courant, profitez de l’installation du système de filtration pour le faire.

Une fois toutes les installations de système terminées, procédez au remblaiement autour de la structure. Cette étape consiste à combler les vides autour de la structure et au-dessus de l’ensemble des canalisations avec de la terre.

Les finitions et la mise en eau

La construction des plages et des margelles sans oublier l’ensemble des finitions prévues autour du couloir de nage marquent la dernière étape de la construction de votre couloir de nage. Une fois les finitions réalisées, il vous suffira de mettre l’eau et le tour est joué. Vous pouvez vous baigner en toute tranquillité dans votre piscine et vous y exercer pour la natation.

Les modèles de couloir de nage à choisir

Le modèle maçonné, celui en coque et celui en kit, sont les trois options de constructions possibles pour un couloir de nage.

Le modèle couloir de nage maçonné, est réalisé en béton coulé, en béton projeté ou en parpaings. La construction d’une piscine couloir de nage maçonné n’est confiée qu’au pisciniste professionnel, qui se charge de veiller à sa durabilité et son étanchéité. Pour tous vos travaux de construction de piscine à couloir de nage, une seule adresse la société Wonderpool. Pour obtenir un devis gratuit de votre projet de construction, cliquez sur : www.wonderpool.be. Les travaux de construction d’une telle piscine peuvent durer entre un et trois mois une fois le permis de construire établi.

 

Piscine : ce qu’il faut savoir avant la construction

Piscine : ce qu’il faut savoir avant la construction

Qu’elle soit hors-sol ou enterrée, la construction d’une piscine requiert quelques réflexions. Le bassin de divertissement peut exiger des formalités administratives. Il y a également des contraintes techniques auxquelles il faudra penser. Retrouvez ci-après les pistes pour mûrir votre projet.

La piscine requiert un permis de construire

Une piscine enterrée peut exiger une demande de permis de construire. Normalement, ce document devient obligatoire si le bassin excède les 100 m2 de surface avec une profondeur de plus de 180 cm. Les modèles hors sol dont l’utilisation dépasse un trimestre devront aussi faire l’objet de formalités. Pour rester dans la légalité, il serait préférable de toujours se rapprocher de la mairie pour s’informer sur les démarches administratives à accomplir en amont de votre projet. La municipalité guide sur les étapes à suivre. Le requérant doit remplir un formulaire, fournir des plans présentant la piscine. Ces détails techniques devront être réglés avec un professionnel tels que atmosphere-piscine.be.

L’emplacement du bassin compte énormément

Le prix d’une piscine représente tout un investissement. Ce serait dommage de se rendre compte tardivement que le bassin est situé à un mauvais endroit. Pour éviter ce genre de désagrément, il faut prendre en considération des contraintes techniques telles que le terrain disponible. L’excavation ne devrait pas accaparer l’intégralité de la cour. L’exposition au soleil figure dans les paramètres puisque les rayonnements pourront contribuer au chauffage naturel de l’eau. La direction du vent entre également dans l’équation et il vaut mieux écarter les courants d’air. Pour ceux qui ont un jardin ou des arbres, les chutes de feuilles sont à prévoir. La proximité d’une végétation impose un entretien régulier.

Le type de piscine dépend de son utilisation

La piscine peut être destinée à un usage précis. Pour ceux qui souhaitent avant tout faire des exercices physiques, il faut une bonne longueur. Si la place manque, un modèle équipé pour la nage à contre-courant serait parfait. Les utilisateurs qui veulent juste pouvoir se détendre entre amis ou avec les proches, une version ronde avec une faible profondeur peut faire l’affaire. Les piscines hors sol en PVC ou bois proposées en kits conviennent pour les moments de décontraction en famille. Par ailleurs, les fournisseurs suggèrent divers modèles. Les panneaux modulaires facilitent la tâche aux bricoleurs. S’il faut un bassin sur mesure, le béton devient inévitable.

Devis et plan émanant d’un professionnel

Dépendant de divers paramètres, le prix d’une piscine varie énormément. Des détails tels que la taille, les matériaux vont influencer le coût du chantier. De plus, il faudra penser au système de filtration, le local technique ainsi que les éléments de protection. Le bassin doit être clôturé et recouvert pour être sécure. Il serait préférable de demander un devis décortiqué à un professionnel. L’entreprise de construction peut aussi se charger de l’élaboration des plans indispensables pour obtenir le permis officiel. Elle s’engage à respecter le délai ainsi que le budget. Contrairement aux idées reçues, confier le chantier à un prestataire peut être moins coûteux que s’aventurer dans du bricolage.

Bardage

Pose de bardage bois : 3 conseils pour réussir !

La pose d’un bardage permet de répondre aux exigences esthétiques et du confort d’une maison. Avec une finition homogène et des teintes diverses, le bardage vient combler le manque d’esthétique d’une façade. De par les matériaux intégrés de sa fabrication, il assure l’isolation thermique et phonique par l’extérieur de la maison. Et étant donné son apposition à la façade, le bardage assure l’intégralité de sa protection. Mais pour bénéficier autant d’avantages, n’est-il pas mieux de réussir sa pose ? Voici nos conseils pour vous.

1. Faites le bon choix des matériaux !

En tant que professionnel du métier, kozari-terrasse.be a toutes les réponses pour vous ! Permettez-nous simplement de vous rappeler pourquoi est-il utile de bien choisir son matériau de bardage. Il y a trois types essentiels de matériaux au choix. Le bois est très esthétique, chaleureux, isolant. Il est particulièrement apprécié en tant que bardage pour la facilité de pose et son prix raisonnable sauf pour certaines essences exotiques. Le composite est l’alternative imitation bois pour accroître la résistance aux insectes et putréfaction ou changement de couleur. Le PVC allie esthétique et prix compétitif si le choix des bardages métalliques est idéalement réservé au local commercial.

2. Les lames sont mieux en position verticales

Cas des bois naturels ou bois composites, la position des lames contribue à l’avenir du bardage. Se déclinant en trois techniques ; l’orientation des lames de bois de bardage a un double rôle essentiellement une fonction esthétique et écoulement des eaux. La pose horizontale est la plus commune, car elle confère une esthétique et une harmonie incomparable. Celle oblique est difficile à mettre en œuvre, mais octroie un rendu singulier et un cachet artisanal de l’extérieur de la maison. La position verticale est appréciée pour accroitre la durabilité de la structure. Pour cause ? Les écoulements se canalisent dans les intermédiaires de deux lames et entrainés naturellement par gravités par le sens des nerfs du bois.

3. Le choix du profil des lames de bardages est crucial

Il y a diverses manières de relier les lames entre elles. Si elles sont toutes choisies en dépendance des esthétiques, il y a des côtés pratiques à éclaircir. La pose de claire voie laisse une petite espace entre les lames et permet de voir le jour, elle demande de la minutie dans la pose. Le profil bevelsiding, de son côté est réalisé en faisant chevaucher les lames créant un effet accordéon au bardage, elle est primée dans l’évacuation des eaux et donc idéale dans les régions à fortes pluies, mais consomme plus de matériaux. La pose clipsée ou tongue en groove permet aux lames de s’emboîter entre elles pour un rendu général homogène, si les lames ont un prix un peu élevé. Et l’Ontario, qui imite l’emboitement où chaque lame a une extrémité saillie à l’opposé de l’autre. Des petites rigoles se créent ainsi au milieu de chaque lame. C’est la manière la plus esthétique d’avoir un bardage bois.

pose de bloc de porte

Construction neuve : conseils pose de bloc de porte et installation de serrure

Dans toute construction, le bloc de porte et la serrure sont des éléments importants, car il empêche les intrusions, surtout en cas d’absence. Pour cette raison, la pose de bloc de porte et l’installation de serrure doivent se faire avec beaucoup d’attention.

Se munir du matériel nécessaire

Pour poser un bloc de porte et installer une serrure, il vous faut plusieurs heures de travail. En plus des étapes à suivre méticuleusement, vous devez disposer du bon matériel. Aussi, vous devez travailler avec prudence, car si vous commettez une erreur de pose, vous vous exposez à un manque de sécurité. Cela dit, pour installer une serrure sur une porte, vous avez notamment besoin d’un marteau ainsi que d’une perceuse et de ses mèches à bois. Il vous faut aussi un tournevis, un mètre, un crayon, du ruban adhésif, un couteau pointu, une paire de ciseaux et une lime.

Par ailleurs, si vous n’avez pas le temps d’installer votre serrure, il est possible de trouver un serrurier d’urgence à Jette, en ligne. En ce qui concerne la pose du bloc de porte, elle nécessite, entre autres, un niveau, un crayon, un mètre et une règle. Vous aurez également besoin d’une planche en bois, d’un burin, d’un maillet, d’une scie, de chevilles, d’un tournevis et d’un ciment ou d’un mortier.

Savoir installer une serrure en applique et à encastrer

Selon que vous avez à installer une serrure en applique ou à encastrer, les étapes diffèrent. Alors, pour installer une serrure en applique (apparente), vous devez fermer votre porte et vous mettre à l’intérieur. Ensuite, marquez le chemin du cylindre et percez son trou avant de fixer la plaque avec les vis. Puis, allez à l’extérieur, pour glisser le cylindre dans le trou précédemment percé. Suivez les étapes précédentes, avant de vérifier le fonctionnement de votre serrure.

Pour poser une serrure à encastrer (non visible) sur une porte, commencez par placer le boîtier sur son futur emplacement et dessinez sa position au crayon. Puis, tracez l’emplacement interne de la serrure et marquez les emplacements des trous pour les vis. Servez-vous alors d’une mèche pour percer des trous alignés, avant de creuser l’emplacement aux ciseaux. Placez le boîtier dans le logement et fixez-le. Enfin, installez les plaques de propriété et la poignée.

Bien poser un bloc de porte

La pose d’un bloc de porte se fait en différentes étapes. Pour commencer, vous devez vérifier que les dimensions du bloc de porte correspondent à celles de son emplacement. Si les dimensions ne concordent pas, découpez le bloc à l’aide d’une scie. Également, veillez à ce que la longueur du bloc de porte soit supérieure de 5 mm à celle du bas de la porte. Aussi, vérifiez l’aplomb (verticalité et horizontalité) et l’équerrage du bloc en le calant dans l’emplacement, afin de les ajuster si nécessaire.

Ensuite, pour fixer le bloc de porte, percez trois points de chaque côté de la porte dans la feuillure où se trouvent les gonds. Insérez les chevilles dans les trous et visez le montant dans la cloison, avant de vérifier à nouveau l’aplomb. Fixez le reste de l’encadrement et suivez les mêmes étapes pour le second montant. Enfin, vous pouvez sceller le bloc de porte.

fondation maison

Quels sont les travaux inclus dans les gros œuvres ?

Incontournables en construction comme en rénovation, les gros œuvres constituent la base de l’ossature d’un bâtiment. La réalisation de ces travaux représente donc une étape fondamentale dans un projet immobilier. Ils garantissent la stabilité et la solidité d’un édifice. Mais quels sont réellement les travaux concernés par les gros œuvres ? Suivez-nous pour en savoir davantage.

Les travaux de fondation

Les travaux de fondation font partie des gros œuvres. En effet, ces travaux permettent de soutenir le poids de la maison et de lutter contre les intempéries. Le but est de fixer la structure de la maison sur le terrain. Pour cette étape, il est essentiel d’effectuer une étude de sol, car la fondation est à réaliser selon la nature de ce dernier. Ainsi, il sera plus facile de définir quel type de fondations sera le plus adapté.

Les fondations superficielles

Une entreprise de gros œuvre à Bruxelles est à même de réaliser ces travaux. Ils sont faits de manière peu profonde, entre 50 cm à 1 m. Ces types de fondations sont le plus souvent effectués dans la construction de maisons individuelles. Elles conviennent donc aux terrains de bonne qualité et qui peuvent soutenir des constructions légères.

Les fondations semi-profondes

Comme le nom l’indique, la fondation semi-profonde exige un creux de profondeur optimal, entre 2 à 6 m. Le professionnel devra creuser afin d’atteindre une couche suffisamment solide pour garantir la stabilité de l’édifice. Ce type de fondations peuvent généralement convenir aux maisons individuelles, mais aussi à un agrandissement latéral.

Les fondations profondes

La profondeur de ce type de fondations peut atteindre jusqu’à 6 m. De cette façon, le sol est plus résistant. Il sera plus apte à recevoir du béton. Le professionnel qui interviendra devra alors creuser sous la forme d’un puits.

Les travaux d’assainissement

Les travaux d’assainissement consistent à collecter, stocker et épurer les eaux usées d’une habitation. Il sera ainsi plus facile de les évacuer dans la nature grâce au raccordement au tout-à-l’égout ou à l’installation d’un système individuel d’assainissement.

L’assainissement tout-à-l’égout ou assainissement collectif

Ce type de systèmes est obligatoire si un réseau public d’assainissement se trouve à proximité. Ainsi, le propriétaire devra s’y raccorder obligatoirement à ses frais.

L’assainissement autonome ou individuel

Le propriétaire devra installer son propre système d’assainissement si le terrain est situé dans une zone d’assainissement non collectif.

Les travaux de soubassement

Le but de cette opération de gros œuvre est de poser sur les fondations la partie inférieure des murs de la construction. Le soubassement se réalise généralement donc après les travaux de fondation. Cette étape se décline en trois différents types :

Le hérisson

Avec ce type de travaux, le sol du rez-de-chaussée est directement posé sur les fondations. Cette solution est généralement adaptée aux terrains plats.

Le vide sanitaire

En vide sanitaire, il sera nécessaire de laisser un espace de 20 cm au moins entre le sol du rez-de-chaussée et les fondations. Cette configuration est surtout conseillée pour les terrains irréguliers ou présentant des pentes.

Le sous-sol

Il est également possible de creuser un espace dans le sol naturel pour en faire un garage, une buanderie, ou une cave entre autres. Si cette solution permet de bénéficier d’un étage supplémentaire, elle peut présenter quelques risques qui pourraient être évités grâce à un bon dispositif de drainage.